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Résistance 59.30 Supports Trendlines . 65 54 . .71 . Charts . . . V 02-02-2001 Echec de la
reprise... Négatif V
12-01-2001 Badaboum.... V
05-01-2001 Prises de
bénéfices après le nouveau
record ou double top... 07-12-00 NEWS 20-02-2001:
Résultats consolidés de
l'exercice 2000. (En millions d'euros, sauf
indication contraire) Résultat net, part du
groupe 985 c. 625 (+58%) Résultat net avant
exceptionnels 961 c. 625 Dividende net (euros) 0,44 c.
0,32 Résultat net par action
(euros) 1,31 c. 0,85 Résultat
opérationnel 1.577 c. 971 25-01-2001: Le
chiffre d'affaires atteint 5,96 millards d'euros,
en hausse de 11,5% à données
publiées et de 10,3% à données
comparables. Ces chiffres sont en ligne avec le
consensus des analystes (5,9 milliards d'euros,
selon Jacques Chahine Finances). 09-01-2001 Sanofi
Synthélabo perd 7,1 % la plus
forte baisse du CAC 40, suite à des rumeurs
sur TotalFina Elf et son désir de
réduire sa participation. Lors de
lacquisition dElf Aquitaine, Total
avait récupéré une
participation de 35,2 % dans le capital de Sanofi.
Une participation non stratégique. En
septembre Total a cédé 18,2 millions
de titres Sanofi Synthélabo, soit 2,49 % du
capital ramenant sa participation à 32,7 %..
Il souhaiterait poursuivre son mouvement de
désengagement du groupe pharmaceutique. De
son côté, LOreal détient
20 % du capital. Selon le pacte
dactionnaires, les deux groupes de
référence ne peuvent pas
réduire leur participation en deça de
19 % avant 2004. AFP le 19/04/2001 09:30
TotalFinaElf cède 2,3% du
capital de Sanofi-Synthélabo sur le
marché Le groupe pétrolier
français TotalFinaElf a annoncé jeudi
qu'il cédait 2,3% du capital du groupe
pharmaceutique Sanofi-Synthélabo, soit 16,7
millions de titres, en vue d'un reclassement
auprès d'investisseurs
institutionnels.TotalFinaElf réduit ainsi sa
participation dans le groupe pharmaceutique
à 30,4%, contre 32,7%
précédemment.Le groupe rappelle que
"cette cession s'inscrit dans la stratégie
déjà annoncée par le groupe"
qui souhaite se désengager à hauteur
de 2,5 mds EUR par an en moyenne des
activités qu'il ne juge plus
stratégiques -- soit un programme total de
désinvestissement de 10 mds EUR entre 2000
et 2003.Sur la base du cours de clôture au
Premier Marché de la Bourse de Paris
mercredi soir (63,25 euros), cette opération
devrait rapporter 1,056 milliard d'euros à
TotalFinaElf. 21-02-2001 (Source:
Boursorama)Malgré des
bénéfices en hausse,
Sanofi-Synthélabo ne séduit plus les
investisseurs. Seule la sortie d'un nouveau
médicament pourrait lui redonner un peu de
tonus. En 2000, le titre du groupe issu
de la fusion de Sanofi et de Synthélabo
affichait une insolente ascension. Dans le sillage
des valeurs du secteur de la pharmacie, le
numéro deux français avait
progressé de plus de 60%. Alors
échaudé par les valeurs
technologiques, les investisseurs
sétaient reporté vers les
valeurs défensives. Mais depuis le
début de lannée, la tendance
est à la baisse pour le titre
Sanofi-Synthélabo. La cession des filiales
de chimie, Sylachim et de matériel
biomédical, Porgès, à des fins
de recentrage vers son coeur de métier ne
convaincrait-elle pas ? Ou son niveau de
valorisation aurait-il atteint son plus haut
étant donné à ses perspectives
de croissance ? Cap sur lAmérique.
« On a fait ce quon avait dit et un
petit peu mieux ». Cest ainsi que
Jean-François Dehecq a commenté les
bons résultats de son groupe. Pour le
premier exercice complet depuis la fusion,
Sanofi-Synthélabo annonce un chiffre
daffaires de près de 6 milliards
deuros, en hausse de 11%, et un
bénéfice net à 985 millions en
hausse de 58%, supérieurs aux
prévisions de plusieurs bureaux
danalystes. Une performance que son Pdg
explique par la conjugaison de synergies
liées à la fusion, dun effet de
change favorable, de laugmentation des droits
détenus dans la joint-venture Lorex et de la
croissance interne, soutenue sur tous les
continents et particulièrement aux
Etats-Unis. Outre des partenariats établis
avec des acteurs bien implantés tels que BMS
et Pharmacia, le groupe y a renforcé sa
flotte de commerciaux. Leur nombre est ainsi
passé de 720 à 1155. En ligne de
mire, laugmentation de sa faible part de
marché (0,4% contre 3,6% en Europe) dans un
pays qui représente 40% du marché
mondial de la pharmacie. La force des blockbusters.
Quinze produits vedettes pour 57% du chiffre
daffaires: la concentration du portefeuille
du groupe français se poursuit. En 1999, ils
représentait 52% des ventes. Parmi eux,
trois blockbusters mondiaux (médicaments qui
approchent ou dépassent la barre des 500
millions de dollars de ventes annuelles). Le
Plavix, produit vedette du groupe dans le
traitement de lathérothrombose
(infarctus du myocarde, accident vasculaire
cérébral,..) a enregistré une
progression de 80%. Il franchi la barre du milliard
deuros moins de trois ans après son
lancement. LAprovel/Avapro bien que
situé sur le marché plus
compétitif de la pression artérielle
a aussi fortement progressé. Enfin, les
ventes de Stilnox/Ambien/Myslee (remède
contre linsomnie) ont augmenté de 32%
aux Etats-Unis, « ce qui est spectaculaire
après six années de commercialisation
dans ce pays » pour Jean-François
Dehecq. La guerre des pilules.
Sanofi-Synthélabo devrait encore tirer une
partie de sa croissance des synergies de la fusion
et des blockboosters Plavix et Approvel, dont la
durée de vie est encore longue. Ces derniers
seront probablement rejoint courant 2002 par le
Pentasaccharide, un médicament
préventif des thromboses veineuses, pour
lequel le groupe pharmaceutique vient de
déposer une demande
daccréditation auprès des
autorités américaines et
européennes. Sanofi-Synthélabo
nourrie également des espoirs pour deux
autres molécules, en phase avancée de
recherche clinique, liées aux pathologies de
lobésité et du rythme
cardiaque. Grâce à une
trésorerie positive, la
société estime être en position
de saisir déventuelles
opportunités de produits ou de
sociétés. Reste que sur ce terrain,
la concurrence sera rude pour
Sanofi-Synthélabo qui fait figure de nain
parmi les grands géants de la pharmacie
comme Merck, Pfizer et Smithkline Beecham. Son
principal handicap est sans doute le niveau de
valorisation de son titre qui se paye 42 fois les
bénéfices attendus en 2001.
Laboutissement des molécules en
développement sera le meilleur moyen de
montrer que la prime est justifiée et de
relancer lintérêt sur la valeur.
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